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Sous la plume d'Armand Hatinguais

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Message par PapyRox Dim 30 Oct - 10:26

Louis Boutard, savant philologue.

Sous la plume d’Armand HATINGUAIS, collaborateur et ami de Louis BOUTARD, le
lecteur trouvera dans les pages qui suivent une biographie sommaire de ce dernier. Elle
est suivie d’un résumé de ses travaux et des trois brevets d’invention, déposés en leur
temps à l’Institut National de la Propriété Industrielle.
Rien ne prouve qu’une découverte, aussi importante soit-elle, apporte une amélioration
quelconque au sort de l’humanité dans son ensemble. Toutefois, la laisser dans l’ombre,
est-ce pour autant favoriser une prise de conscience indispensable ?
========================

Louis Boutard, savant philologue.
Sa vie, son oeuvre, ses amis.
1880-1958-1980.

Louis Boutard, notre grand savant ami décédé le 8 avril 1958, nous a fait don de travaux
considérables de recherches philosophiques, non publiés, restés inconnus (jusqu’à ces dernières
années, de par sa modestie et conformément à sa volonté), bien que poursuivis pendant plus d’un
demi-siècle et révélés oralement à ses proches amis, pénétrés d’admiration mais complices de ce
silence.
Louis Boutard est décédé à Cannes, après toute une vie de labeur solitaire, dans la pauvreté
dignement acceptée de ressources matérielles, mais avec les richesses spirituelles que lui
procuraient ses géniales découvertes.
Né le 4 février 1880 à Poncé-sur-Loir (Sarthe), aîné de quatre enfants, il apprécia la vie d’une
famille simple et pieuse, dont le père, sabotier à Poncé, natif d’un village voisin, (« La Chapelle
Gauguin »), avait épousé Adeline Ménager (fille de tisserands de la Ferté Bernard). Il aimait
raconter que cette maman, tant aimée, (née à « la Ferté Bernard », au sein d’une maisonnée
nombreuse), belle brune aux yeux noirs, très tendres, l’endormait tout bébé, en lui fredonnant « la
berceuse de Jocelyn ». De son frère pûiné, Charles, mort à l’âge de cinq ans, qu’il avait aimé et
admiré, il disait modestement : « il aurait été beaucoup plus intelligent que moi ! ». Il reporta cette
affection sur ses deux soeurs, (Marie aux yeux bleus, et Thérèse aux yeux noirs), qu’il prit en
charge, et qu’il garda auprès de lui jusqu’à ses derniers moments, dès la mort de leur mère en 1898,
et surtout après celle de leur père en 1919.
Lui-même, enfant très doué, qui lisait couramment avant l’âge de quatre ans, fut adopté et guidé
par l’abbé Toublet, curé de Poncé, vieil-ami dont il partageait les promenades dans la campagne
environnante, et qui le fit entrer, tout jeune, au séminaire de Précigné (1891), puis au grand
séminaire du Mans, en attendant les années d’études poursuivies en commun à Poncé : langues
anciennes (grec et latin), et langues modernes étrangères, patois divers et recherches philologiques,
agrémentées de promenades botanniques, instructives (collections, herbiers), consacrées à
l’observation des plantes, (minutieuse et personnelle), encouragées par l’abbé, admiratif compagnon
« au visage rude, aux gros traits » qu’évoquait affectueusement « grand Louis », en précisant : « il y
a la gangue, mais il faut voir ce qu’il y a dessous » !
En 1901, Louis Boutard, après deux mois de service militaire, fut réformé pour mauvaise vue,
(blessé grièvement à l’oeil gauche, tout enfant), raison pour laquelle, déjà, il avait dû renoncer à
« entrer dans les Ordres ». Désireux de s’intéresser à l’étude de la langue arabe et du berbère, le
« philologue prédestiné » décida son départ pour l’Algérie. Il occupa à Alger une situation de
représentant en tissus anglais, aux établissements Turner (en 1902), ce qui lui permit à loisir, de
voyager en Afrique-du-Nord et de se livrer à l’étude approfondie des langues (dialectes anciens ou
expressions populaires courantes, parlées dans les villages du « bled »), tout en poursuivant ses
travaux botaniques et de philologie.
En 1910, revenu, en visite, en burnous, à son village de Poncé, l’Algérien, « grand Louis » fut
accueilli avec sympathie et curiosité. Il en repartit pour Oran et Alger jusqu’en 1920 et c’est en sa
modeste villa du chemin des Trembles qu’il emmena, pour y vivre avec lui, ses deux soeurs Marie et
Thérèse : désormais inséparables, tous les trois, définitivement éloignés de Poncé et de la « petite
île » dont ils avaient hérité (émergeant du Loir, près de leur foyer familial).
C’est en 1923 que j’eus le privilège de le connaître, alors que, Directeur des vastes « ateliers
Franco-algériens », je reçus sa bonne visite pour me demander de participer à ses travaux de
recherches ainsi qu’à la construction d’appareillages minutieux, ce que j’entrepris avec
enthousiasme en lui réservant un petit laboratoire expérimental que j’installai à cet effet.
J’étais moi-même à cette époque passionné d’archéologie et piqué de curiosité pour la Science
de l’Antiquité Sacrée, caressant l’espoir d’y trouver quelques révélations quant à la nature de
l’électricité et des « énergies magnétiques », intrigué et insatisfait par ces mystères non dissipés et
plutôt avivés par mes études d’ingénieur (AM et IEG : Arts et Métiers, et Institut electro-technique
de Grenoble), et par deux années de pratique à la Compagnie Electro-Mécanique du Havre (ex
Westinghouse).
Tel fut le début d’une amitié constante et féconde durant trente-cinq années, avec la rédaction de
mille cinq cents pages de documents inédits, paléographiques, philologiques, que, plus tard, sur son
lit de mort, Louis Boutard me demanda de « faire connaître ».
J’ai essayé alors d’en résumer et condenser les conclusions et les applications souhaitables dans
mon volume premier « Avec Louis Boutard, Retour aux Sources Méconnues », déposé à la
Bibliothèque Nationale en 1966, et suivi du deuxième volume, actuellement en cours de
reproduction par photocopie, consacré à des exposés sur l’Ether (A-Ether), et sur quelques
applications (appareils « autogénérateurs », amplificateurs ;… défibrage industriel de l’alfa — mis
au point durant deux années, 1930, 1932 — conducteurs de flux électromagnétiques, synthèses
chimico-biologiques, etc…) : cf cahiers N° 8 à 12.
Travaux que je souhaiterais ardemment voir poursuivre avec l’aide de quelques amis déjà initiés
et de spécialistes de recherches philologiques et paléographiques à qui je serais disposé à confier les
documents rédigés par Louis Boutard (à Alger — 1924-1933 — puis à Cannes — 1934-1958 —) en
ses demeures successives à la Matacelle, à « Monterey », aux « Ténuis », à « Champ Fleuri », avec
le soutien matériel et moral de ses fidèles bienfaiteurs et amis : Lucien et Henri Borgeaud, (sénateur
et maire du Chéragas), Maurice Maris (Directeur à l’agriculture, au Gouvernement Général de
l’Algérie), Pottier, Garcia, Délépine, et Cordier (Société Alpha, fondée à Alger en 1932), Louis
Cros, Jean Vergnon, Mme de Maria, la famille Vagliano (de Cannes), sans omettre ceux de Poncé et
de Tours : Mr et Mme Besnard, Mr et Mme Dumont.
C’est après nos expériences poursuivies aux domaines d’Henri Borgeaux, à la « Trappe », de
Staouéli, pour la mise au point de l’éducation de la « massue héracléenne », et du défibrage de
l’alpha, afin de réaliser l’exploitation pratique de cette plante textile, d’origine africaine et
désertique, pour la filer et en tisser des étoffes imputrescibles connues et appréciées dans l’antiquité
sacrée, orientale et romaine, en réalisant ainsi une première application industrielle, exemplaire, de
l’un des « travaux d’Hercule », choisi parmi l’ensemble des recherches de Louis Boutard.
Le succès de cette entreprise et celui d’autres projets en perspective, nécessita le transfert en
1934 du siège social de la Société Alpha d’Alger à Cannes, où des soins urgents médicaux et
chirurgicaux étaient envisagés en raison de l’état de santé de Louis Boutard et de certains de ses
amis, Administrateurs de la Société.
De mon côté, à fin décembre 1936, alors que j’étais ingénieur de MMrs Schneider et Cie aux
« travaux d’extension du Port d’Alger », je dus subir une grave opération (à la suite d’un accident
de voiture dans le Sud Algérien, à Gardaia), avec la rééducation mécano-thérapique des jambes,
toutes deux sectionnées aux genoux. Miraculeusement soigné par le professeur Constantini de la
Faculté de Médecine et de Chirurgie d’Alger, je pus reprendre mes activités deux mois plus tard sur
mon chantier algérois, et rejoindre aussi la Côte d’Azur, aux vacances d’été 1937 et 1938, pour y
retrouver les amis de Cannes.
C’est alors que mon épouse, Directrice des lycées d’Alger depuis 1927, ayant été nommée au
lycée Racine en septembre 1938, nous sommes devenus « parisiens », avec nos deux filles,
Jacqueline (16 ans) et Marie-Claude (12 ans). Toutes deux furent déçues par l’ « ambiance » (près
de la gare St Lazare), comparée à celle de notre « Splendide Mustapha Supérieur », et surtout avec
la « drôle de guerre » (1939-1940), malgré la paix relative de la grande banlieue parisienne, connue
à Neauphle-le-Vieux, Centre de repli du lycée Racine (professeur et élèves), où madame Edmée
Hatinguais parvint à créer et diriger un Établissement scolaire idéalement préservé de soucis (même
avec la présence de parachutistes de l’Occupation allemande), avant d’être nommée Directrice de
l’École Normale Supérieure de Sèvres.
Je fus alors engagé moi-même comme ingénieur au « Laboratoire Central des Fabrications
d’Armement », rue St Thomas d’Aquin, puis, successivement, au Ministère de la Production
Industrielle et de l’Industrie. Je pus trouver dans ces fonctions quelques loisirs pour reprendre
activement ma collaboration avec Louis Boutard, et installer un laboratoire à Sèvres.
L’expérimentation de l’« alfa textile » put être confiée en 1938 à Henri Borgeaud et poursuivie
en Algérie, bien que dans des circonstances difficiles, car les campagnes exercées à cette époque
contre les « colons » (et la Colonisation en général), ne lui furent pas ménagées, entravant ses
activités personnelles ainsi que nos projets et espoirs de réussite en cette expérience.
Les rapports entre les Français de « zone occupée », et ceux de la zone dite « libre », purent être
maintenus mais trop réduits jusqu’en 1945, et plus tard, au cours des années suivantes. Cependant
celles-ci furent consacrées par Louis Boutard à la rédaction des documents qu’il nous a laissé, avec
de bonnes rencontres… des séjours annuels à Cannes, des échanges de correspondance suivis, pour
la préparation, de mes mains, d’éléments d’appareillage destinés à être transportés à Cannes et à
expérimenter ultérieurement suivant un programme établi en commun, à l’occasion de nos
précieuses prises de contact et retrouvailles si fécondes et toujours vivement recherchées… jusqu’à
la dernière, hélas !, celle de la fatale et cruelle séparation définitive, au début du mois d’avril 1958,
au cours de laquelle me fut confiée la mission de continuer et faire connaître notre collaboration de
35 années à nos travaux antérieurs de recherches sur l’Antiquité Sacrée.
Je pus y consacrer mes loisirs et tous mes moyens de « Retraité » du Ministère de l’Industrie et
rédiger jusqu’en 1965 le premier volume de notre « Retour aux Sources Méconnues » (dépôt légal
en 1966). La préparation du tome II fut alors brusquement interrompue, pour me permettre
d’entourer de mes soins vigilants et d’une présence de tous les instants, mon épouse frappée
subitement d’hémiplégie, au terme de sa brillante carrière, comme Directrice du prestigieux
« Centre International d’Études Pédagogiques de Sèvres », et ceci jusqu’en octobre 1972, jour de
son décès accidentel.
Ce n’est qu’en 1974, installé à Tours, près de ma fille aînée, professeur à la Faculté puis au
CNTE (Centre national de TéléEnseignement), que je pus reprendre l’ouvrage interrompu avec la
publication d’un « Cahier 7 », de transition entre le tome I et le Tome II, actuellement en
préparation, alors qu’encouragé de toutes parts, j’envisage la création d’un « Institut Louis
Boutard », à l’instigation de mes enfants, Jacqueline Hatinguais, Marie-Claude et Philippe Noël, et
famille, et de nombreux et nouveaux amis, désireux de poursuivre les recherches et les travaux
d’expérimentation scientifique, philologiques et paléographiques, présentés par mémoires
descriptifs et documents manuscrits de Louis Boutard, et par mes ouvrages.

Armand Hatinguais.



Sommaire des travaux expérimentaux de M. Louis Boutard.

Un savant français, physicien et en même temps philologue classique sagace, M. Louis Boutard,
a consacré presque toute sa vie, aussi pauvre que laborieuse et silencieuse, à porter ses
investigations dans le mystère électro-magnétique qu’il s’est efforcé de pénétrer.

À la suite d’expériences sans nombre effectués à l’aide d’appareils de toute nature imaginés par
lui et construits de ses propres mains, il a pu établir un corps complet de doctrine expériementale
qu’il a condensé dans un mémoire descriptif s’étendant depuis le départ automatique spontané du
mouvement électro-dynamique jusqu’à la procréation vivante.

Sans qu’il soit possible pour le moment d’énumérer toutes les découvertes auxquelles ces
recherches et ces expérimentations l’ont conduit, on se bornera à indiquer ci-après les appareils
fondamentaux qu’il a conçus et constitués, et les expériences décisives qu’il a réalisées en vue de
démontrer l’exactitude et l’infaillibilité de la doctrine mise en évidence :

1 . Génératrice perpétuelle, automatique et autonome, de plusieurs électricités, de faible
intensité, dont le fonctionnement n’exige ni réaction chimique, ni mouvement mécanique,
exigeant au contraire qu’il n’y ait ni action ni réaction chimique, mais une neutralité entière,
de dimensions et de poids réduits, susceptible d’être transportée ou installée au gré des
besoins, et d’une durée indéfinie.

Un type de cette génératrice fluidique fonctionne perpétuellement dans le laboratoire
modeste de M. Louis Boutard.

Elle révèle quelle est la nature mystérieuse du travail dont les flux électriques très
complexes sont l’admirable résultante, entièrement différent du « travail » matériel
mécanique ou chimique, base de l’équation T, faux lemma qui a pour conséquence la ruine
de tout le mathématisme échafaudé à faux dans le domaine du mystère jusqu’ici inconnu,
métaphysique, immatériel, de la Vie immortelle électro-magnétique, dont les lois logistiques
de multiplication indéfinie, la grande loi de la Nature, pour lesquelles 2x2 ne font pas 4 mais
400, sont l’inverse des lois mathématiques déperditives de la matière inerte géométrique et
mécanique. Par les complexes conditions requises pour le fonctionnement perpétuel de cette
autogénératrice à 7 voies nécessaires d’écoulement, qui dépend de principes éternels
immuables, sont péremptoirement démontrées erronées les idées enseignées sur le
« voltage » et « l’ampérage » et leurs définitions actuelles, « quantité » et « intensité » dont
la nature distincte et les causes véritables sont pour la première fois expérimentalement
décelées. Les mêmes démonstrations sont faites en outre par M. Boutard au moyen
d’appareils très simples, qui « désampèrent » sans « dévolter », et « réampèrent » à volonté,
ou qui « dévoltent » sans « désampérer ».


2. Seconde génératrice qui a la propriété, par inductions spéciales, de multiplier et d’amplifier
dans une proportion constante la quantité et l’intensité des flux engendrés par la première
génératrice, dont infime est la puissance initiale nécessaire et suffisante pour produire
l’induction : 22 milli-ampères et 200 milli-volts. Par une suite d’induction successives en
plusieurs appareils progressifs en grandeurs et reliés en séries, on multiplie à l’infini (et pour
la première fois est démontrée l’origine historique du signe mathématique de l’infini) la
quantité et l’intensité (« voltage » et « ampérage »), des courants continus de la génératrice
initiale, sans aucune alternance de ruptures et de fermetures, sur des données polaires
démontrant la fausseté des théories « scientifiques » jusqu’ici enseignées, de même que de
celles ayant actuellement cours sur l’impossibilité de produire induction par courant continu
sans ruptures du courant inducteur ; induction par ruptures qui ne donne du reste qu’un
courant à « voltage » mais privé « d’ampérage » ; alors que les génératrices multiplicatrices
et amplificatrices ci-dessus engendrent à la fois « voltage » et « ampérage », et ce à volonté,
origine historique des « fluxions » différentielles et intégrales.

Bien entendu, cette amplification se fait exactement de même, dans les mêmes conditions,
avec un courant inducteur ayant pour origine les « dynamos » mécaniques actuelles, toutes
mal conçues et toutes défectueuses par la méconnaissance de la forme fatidique du Champ
de Force.

Des appareils de démonstration de cette nature, de dimensions réduites, ont été construits par
M. Louis Boutard au cours de ses travaux. Il poursuivait la construction et le montage de ces
génératrices amplificatrices à caractère industriel lorsque la guerre l’a privé du concours de
l’ingénieur qui le secondait depuis 15 ans pour la préparation technique matérielle des
éléments constitutifs, spécifiques et complexes de ces appareillages. Celui-ci, affecté au
Laboratoire Central de Contrôle des Fabrications d’Armement, actuellement à Paris, a pu
reprendre sa collaboration interrompue, mais on ne peut correspondre et l’envoi des
éléments indispensables pour la reprise des travaux est toujours impossible.


3. Dynamo de volume très réduit, de forme toute spéciale, d’après les mêmes principes
immuables, sur des données polaires entièrement différentes de celles connues et erronées,
tournant sans résistance au mouvement gyratoire, génératrices de plusieurs courants
électriques continus, « voltés » et « ampérés » ad libitum, à leur tour multipliables et
amplifiables dans les mêmes conditions que celles sus-indiquées, actionnée par une force
mécanique motrice quelconque, ou, bien mieux, par la force du courant continu, multipliées
et amplifiées, de l’autogénératrice initiale.


4. Appareils d’induction générateurs d’atomes sexués et cellulaires (oeuf vivant primitif) de la
vie végétale et animale, procréateurs d’hypostases organiques, identiques à celles de la
nature : fécule, glucose, cellulose, acides organiques, nucléines stéatiques et oléiques,
chromules colorantes.


5. Appareils d’induction de forme toute aussi spéciale, dans le champ de force duquel prend
naissance, entre électro-magnétodes d’une conception particulière, un monstrueux
protozoaire, en sac folliculaire rhopalique (en forme de massue), se déplaçant comme une
torpille, bi-sexué (androgyne), et se reproduisant à l’infini, visible au champ du microscope
au grossissement réduit de 300 diamètres, dont l’étude a été entreprise par des tiers en
dehors de M. Boutard.

Par l’action directe de ce protozoaire herculéen sur de l’halfa (« stipa tenacissima, L. »),
dont il assimile les parenchymes pour se nourrir et se reproduire, immergé dans des cuves,
M. Boutard a résolu le problème, jusque là considéré comme insoluble de l’isolement
intégral des fibres cellulaires (sclérenchymes) de cette graminée. Un tonnage d’halfa a été
ainsi défibré et la filasse a pu en être filée sur des métiers à jute industriels sans
modifications préalables.

Ce colossal infiniment petit, qui dans l’eau fait place nette de tous les microorganismes
autres que lui, détruit victorieusement tout ce qui est parasitisme pathogène.
Par cette rapide et sommaire énumération, on voit que le cycle des travaux de M. Louis
Boutard s’étend bien depuis l’origine du mouvement électro-dynamique automatique
jusqu’à celle de la vie.

Sommaire des travaux de philologue classique de M. Louis Boutard

Origine sémantique, religieuse et savante, des signes de l’écriture (shmata) ; caractères sacrés des
lettres, étymologie de littera et de séma (shma)
Alphabet hellénique kadméen primitif. Mythe fondamental de kadmus. Sens de kadmois
phoinikeos (kadmos foinikeos) : cadmus rouge sang.

Alphabets dérivés de celui-ci : déformés dans le phénicien et l’hébraique, peu altéré en ti-finars
berbères (tamecheq, dit touareg), transformé dans le bengali et le dêvanagari sanscrit, lettres
caucasiennes empruntées par le Zend persan.

Erreur sacerdotale postérieure des dessins d’hiéroglyphes, partiellement érigés par la suite en
système d’écriture égyptienne, substituée à l’écriture kuriologique première, faite populaire par
l’enseignement public (Clément d’Alexandrie) pour transcrire la même langue déformée par l’usage
démotique.

Explication détaillée de la célèbre « Table Isiaque ». Solution de l’énigme de la trilogie :
pyramide, obélisque, Sphnix (la Sphinx et non le Sphinx, sottise de l’ignorance moderne).
Lois de formation kuriologique, religieuse et savante, sémantique et nullement phonétique de la
langue hellénique, racines mères des autres langues terrestres.

Déformation phonétique populaire ou corruption de ces langues jusqu’aux débris informes des
dialectes et des patois actuelles dénommés « langues modernes ».
Codes des lois phonétiques de ces déformations pour :
1. Les peuples européen, dit Japhétiques, puis Indous (et non pas indo-européens, et
moins encore indo-germaniques, erreurs de la méthode grammaticale germanique de Bopp) ;
langues de l’Indo-Chine : Annamite (Cochinchine, Annam, Tonkin) ;

2. Les peuples sémitiques : syro-chaldaïque, hébreu, arabe ;

3 . Les peuples khamitiques : egyptiens, berbères de l’Afrique du Nord, Kabyles,
chaouia, tachellit, tamazirt, tamaheq dit touaregs (oeuvre du Père de Foucault) ; langue basque,
ibère et celtibère ;

4. Les peuples du Nouveau Continent : maya du Yucatan ;

5. Les peuples de la Polynésie : langue de l’île Puynipet (Ascension), langue de Tahiti,
et la Nouvelle Zélande ; dialectes de Tasmanie ;

6. Les peuples nègres de l’Afrique : système Bantou, Saouëli de Zangebar ; Malgache
de Madagascar (Hova et Sakalave).

Gnôse (dorienne) antérieure au Christianisme. Herméneutique. Explication textuelle et
herméneutique des débris latins du Cantique des Frères Arvales (travaux de Marini), et du Cantique
Sacré des Prêtres Saliens à Rome. Traduction de la plus antique inscription latine, religieuse, dite de
Duenus.

Gnôse chrétienne. Déchiffrement méthodique des « Abraxas » gravés (dessins et inscriptions).
Numération comparée :
1. Figures des nombres ou chiffres ;
2. Nom des nombres ;
3. Sens étymologiques de ces noms et par conséquent de ces nombres. Étymologie de
arithmos et mathéma : processus logique des dix premiers dispositifs du mouvement électrodynamique
et organique ;

Travaux aussi précieux pour le savoir humain que pour la Vérité ethnique et historique faussée
par une fausse science, d’une importance plus haute encore, dans l’ordre spirituel et moral, que les
redécouvertes d’ordre expérimental, physiques, chimiques et organiques auxquelles se rapportent
l’autre sommaire ci-joint.

Armand Hatinguais
(ces sommaires datent de 1943).



Dernière édition par PapyRox le Mar 1 Nov - 9:33, édité 1 fois
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