Pourquoi le projet du cahier n°12 a-t-il été abandonné après nos résultats de février 2012 ?

Pourquoi le projet du cahier n°12 a-t-il été abandonné après nos résultats de février 2012 ?

Tout d’abord, sur un projet d’une telle ampleur, et nous ne parlons ici que du cahier n°12, il faut être conscient de plusieurs choses :
-         -  Ce sont des centaines d’heures qu’il faut engrainer méthodiquement pour espérer aboutir
-         -  Une collection importante de documents a dû être collectée en amont
-         -  De nombreuses lectures et relectures des écrits de Louis Boutard sont nécessaires tellement c’est écrit de façon très, très spéciale.  A croire que Louis Boutard était en transe lorsqu’il       écrivait.
-         -  De nombreuses discussions productives, mais aussi trop souvent, contre-productives
-         -   Il faut aussi trier le vrai du faux des différents intervenants qui ont couché sur papier leur vision des choses. (Mr Hatinguais n’est nullement visé par cette réflexion.)
-         -   Après avoir cerné cet ensemble confus d’informations, il faut passer à la pratique.
-         -   Pour passer à la pratique, il faut un certain savoir-faire et beaucoup de persévérance et/ou de ténacité.

Dans l’idéal, en tenant compte des éléments cités ci-avant, c’est de pouvoir espérer pouvoir travailler en équipe au travers des multimédias.  
Hélas, c’est là que le bas blesse.
Notre plus grand problème fut de trouver un équilibre permanent entre l’égo démesuré des uns et la frustration des autres.  Le gaspillage de temps qui en découle a représenté pas loin de 70 à 90% sur le total du projet.

C’est donc au travers de cette cacophonie que SourceVerte (paix à son âme) et moi-même avons tout mis en œuvre pour réunir les matériaux nécessaires à la fabrication d’Héraclès.   
Après plus d’un an, SourceVerte (Ardèche) a obtenu un résultat très prometteur.  Dès la mise sous tension d’Héraclès, une production quasi instantanée d’une multitude de particules vivantes en mouvement (je reste prudent quant à l’appellation à donner).  Louis Boutard nommait ces particules des « Zoaires ».


Il aura fallu moins d’un mois pour que l’égo de l’auto proclamé chef de la bande se démultiplie, fasse capoter notre capitale confiance et mette à néant tous nos efforts, pas de manière scientifique, mais par coup de butoirs, par insinuations non fondées comme « Mon pendule me dit que ce n’est pas le zoaire que vous avez trouvé », etc, etc…

Alors je me dis, comment éviter tous ces désagréments ?  En travaillant seul, tout simplement.  En n’attendant rien de personne.  Je possède tous les éléments pour relancer l’une des deux machines existantes à ma connaissance.

Par précaution, je consigne tout mon travaille dans la partie privée du présent forum.  Et autant vous dire que rare seront ceux qui y auront accès.

Dans la mesure du possible, j’essaierai de vous tenir informé de l’avancée du projet dans la partie publique, ainsi que d’établir un dialogue avec qui le souhaitera.

A l’heure où je vous écris, je n’ai pas de nouvelles de mon ami Diengard…

Bien à vous.